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L'histoire et ses règles

By Kostov, Vladimir, Petrov, Ph.D.

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Book Id: WPLBN0003466764
Format Type: PDF eBook:
File Size: 1.35 MB
Reproduction Date: 10/1/2010

Title: L'histoire et ses règles  
Author: Kostov, Vladimir, Petrov, Ph.D.
Volume:
Language: French
Subject: Non Fiction, Auxiliary Sciences of History, History
Collections: Authors Community, History
Historic
Publication Date:
2010
Publisher: Editions Bènèvent
Member Page: Vladimir Kostov

Citation

APA MLA Chicago

Vladimir Petrov Kostov, B. P. (2010). L'histoire et ses règles. Retrieved from http://www.self.gutenberg.org/


Description
Dans le chapitre 1 nous nous intéressons à l’horoscope chinois. (De toutes les sources existantes qui portent sur cette astrologie nous nous contentons de mentionner le livre [7].) Deux énoncés en sont le résultat : 1. Des évènements analogues liés à des changements de paramètres du pouvoir, ou à des acquisitions ou pertes de territoire et/ou de souveraineté, ont lieu souvent dans deux années distantes d’un multiple de 60 ans l’un de l’autre (c’est à dire d’un nombre entier de cycles complets de cet horoscope). « Souvent » veut dire « bien plus souvent que quand cette distance dans le temps n’est pas un multiple de 60 ans ». 2. Une distance dans le temps d’un multiple impair de 30 ans favorise l’apparition de tels évènements, mais à caractère opposé (ou plutôt mélangeant analogie et contraste). Cette apparition est plus fréquente que dans le cas où la distance dans le temps entre les deux évènements n’est pas un multiple impair de 30 ans. Dans le chapitre 2, on compare quatre régions géographiques (la Péninsule Ibérique, l’Italie, la Péninsule Balkanique et la Géorgie) pour observer des similitudes historiques. Puis on ajoute à cette comparaison l’Amérique du Sud, dont la plupart a été colonisée par les deux pays ibériques, l’Espagne et le Portugal. Cette étude continue (sans pourtant la répéter) une comparaison entre les Péninsules Ibérique et Balkanique entamée dans le livre [1]. Dans le deuxième paragraphe de ce chapitre, on considère la question de l’aspect entre le signe astral d’un homme politique (on se concentre sur les dictateurs) et le signe astral attribué à son pays. La plupart des exemples confirment la thèse que les dictateurs « réussis » sont ceux dont le signe astral forme un aspect favorable avec le signe du pays. Dans le chapitre 3, nous rappelons d’abord la définition et les choses essentielles concernant les cinq sphères d’influence géopolitique directe décrites dans le livre [1], celles de la Russie, de l’Allemagne, de la Serbie, de l’Irak et de la Chine. En examinant l’histoire de ces cinq pays et d’autres nous arrivons à la conclusion que très souvent la règle suivante (dite règle de 6) se vérifie : Les évènements importants pendant une période bien définie de l’histoire d’un pays, qui sont liés à l’agressivité humaine et à la mort de personnes (tels que guerres et rébellions), arrivent en groupes de 6 ou, plus exactement, en nombres qui sont des multiples de 6. Parfois cette règle concerne aussi le nombre de dirigeants du pays pendant la période concernée. Il semble que l’histoire ait voulu dire : « Jamais cinq sans six ! » La règle de 6 a été étudiée pour plusieurs pays, la plupart européens, dans les chapitres 3 et 4, dont chaque paragraphe est consacré à un ou deux pays. Dans le Chapitre 5, on considère des thèmes astraux de débuts de guerres et de traités de paix ou d’armistices. On voit que les planètes liées par des aspects d’opposition et de carré sont souvent Mars et Pluton (sans surprise) mais aussi Saturne (symbole du passé), le Nœud Nord et la Lune Noire qui sont liés aux rapports karmiques. Ces derniers comprennent (entre autres) la perte durable d’un territoire. On constate, dans plusieurs cas, que les planètes mentionnées se trouvent dans les signes astraux attribués aux pays belligérants ou dans les signes astraux de leurs dirigeants.

Excerpt
De toutes les forces naturelles, l’eau semble avoir été la moins généreuse envers Napoléon Bonaparte. C’est logique – il était né sous le signe du Lion, un signe de Feu. Ce n’est pas seulement qu’il ait perdu les batailles sur mer contre l’Angleterre – Aboukir (1798) et Trafalgar (1805). Mais deux de ses défaites sur terre sont liées à la traversée de rivières et à l’impossibilité d’évacuer la totalité de ses troupes – celle de la Bérézina (1812) et celle de Leipzig (1813) où on a fait sauter le pont sur l’Elster trop tôt. Il reste à mentionner aussi la bataille de Waterloo – « water » signifie « eau » en hollandais. A ce propos on peut observer que le nom de son adversaire Arthur Wellesley, duc de Wellington, était un peu mieux en accord avec les vibrations du nom du champ de bataille – sur les huit lettres de « Waterloo », cinq sont contenues dans « Wellington » et cinq dans « Bonaparte », mais les premières lettres de « Waterloo » et « Wellington » sont les mêmes. La ressemblance entre les noms de protagonistes ou lieux historiques est seulement un des thèmes d’intérêt de ce livre qui est la suite du livre [1]. Dans ce dernier, on fait l’étude de certaines règles selon lesquelles se déroule l’histoire de l’humanité. Pour rendre cette suite autonome, nous rappelons dans cette préface certaines définitions de base – celle de la corrélation entre deux mots, celle des aspects astrologiques entre les jours de l’année, etc. Puis nous illustrons ces définitions par des exemples (qui ne répètent pas ceux du livre [1]) en donnant une préférence aux exemples liés à l’histoire. A la fin de la préface nous décrivons les objectifs, la structure de ce livre et ce qu’il contient de nouveau par rapport au livre [1]. Définition. Supposons que deux mots contiennent respectivement m et n lettres où n est plus grand ou égal à m. Supposons que ces deux mots ont p lettres en commun (en comptant avec les répétitions éventuelles). Alors, la corrélation entre les deux mots est égale à p/m. Par exemple, la corrélation entre les mots « Italie » et « Sicile » est égale à 4/6 (on a m=n=6, p=4). Celle entre les mots « Paris » et « Aix » est de 2/3 (on a m=3, n=5, p=2). Toutefois la corrélation reste une quantité purement formelle. Quand on parle de la ressemblance entre les mots, on tient compte du fait d’une part que les premières lettres (ou éventuellement les premières voyelles) soient les mêmes, et d’autre part, que les lettres communes soient dans le même ordre. Puis vient le problème délicat des rapports entre orthographe et prononciation – se pose alors, par exemple, la question de distinguer ou pas les lettres « s » et « ç ». Mais illustrons d’abord les notions de corrélation et de ressemblance par quelques exemples. La ressemblance entre les noms de (Aimé-Joseph) Darnand, chef de la Milice française durant l’occupation allemande pendant la Seconde Guerre Mondiale, et de l’amiral (Jean Louis Xavier François) Darlan, commandant en chef des forces armées de la terre, la mer et l’air pendant la même période, est évidente – hormis la corrélation de 5/6, leurs trois premières lettres sont les mêmes et les lettres en commun sont exactement dans le même ordre. Ce sont les noms de deux hommes ayant occupé des postes de commandement de forces armées ou paramilitaires et connus pour leur collaboration avec le régime nazi. Cette collaboration a coûté la vie aux deux – Darnand a été condamné à mort par la Haute Cour de Justice le 3 octobre 1945 et exécuté une semaine plus tard, tandis que Darlan est tombé sous les balles du jeune étudiant royaliste Bonnier de La Chapelle. Les noms de (Tadeusz Andrzej Bonawentura) Kosciuszko et de (Lajos) Kossuth commencent par les mêmes trois lettres et ont une corrélation de 5/7. Ce sont les noms de deux personnes qui sont devenues chefs de rébellion – Kosciuszko était à la tête de la résistance de 1792 contre l’occupation russe de la Pologne (qui devait être partagée pour la deuxième fois en 1793), tandis que Kossuth était Président du Comité de Défense Hongrois pendant la révolution de 1848-1849, avec des pouvoirs dictatoriaux. De tels pouvoirs, Kosciuszko en avait aussi, en 1794, quand il était commandant en chef des insurgés polonais. Il avait participé à la Guerre d’Indépendance Américaine (1776-1783), puis contribué à la fondation de West Point, devenu brigadier général et citoyen d’honneur des Etats-Unis. Kossuth a aussi passé quelque temps aux Etats-Unis où il a été accueilli avec les honneurs – il a été le deuxième étranger après Lafayette à avoir tenu un discours au National Statuary Hall. Lui aussi considérait la Russie comme un pays ennemi (après l’intervention de cette dernière en 1849 contre la rébellion des Hongrois), c’est pourquoi il a essayé de stimuler les sentiments anti-russes en Angleterre avant la Guerre de Crimée.

Table of Contents
0. Préface Chapitre 1. L’horoscope chinois ; évènements parallèles. Chapitre 2. Comparaison entre cinq régions géographiques. Chapitre 3. Les règles de l’histoire aux centres des cinq sphères d’influence géopolitique directe. Chapitre 4. La règle de 6 dans l’histoire de l’Amérique Latine. Chapitre 5. Evènements et thèmes astraux. Appendice 1. Débuts et fins des années de l’horoscope chinois. Appendice 2. L’alphabet cyrillique.

 
 



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